Budai avec six enfants (pāramitā) - photo Christies - |
L’objectif du bouddhisme est l’éveil (bodhi). Sept états/ processus mentaux y conduisent : les sept facteurs ou auxiliaires de l’éveil, bojjhaṅgas en Pāli, sont : 1. l’attention ou « pleine conscience » (sati) 2. l’investigation des objets mentaux (dhamma-vicaya) 3. L’énergie (vīriya) 4. La joie (pīti) 5. La tranquillité (passaddhi) 6. L’absorption (samādhi) 7. L’équanimité (upekkhā). On trouve également des listes de 37[1] ou 41[2] bodhipakkhiya-dhammās, répartis en 7 séries. Ces sept facteurs ou sept séries de dhamma conduisant à l’éveil (bodhi-pakkhiyā dhammā, bojjhaṅga sct. bodhipakṣya tib. byang phyogs) correspondent traditionnellement aux sept trésors du roi universel (cakravartin). Ces facteurs de l’éveil, sont-ils « pénétrés » graduellement ou simultanément pour atteindre l’éveil ? Voilà une question que le bouddhisme s’est posé très tôt.
Le Chemin de l’analyse (Paṭisambhidāmagga) est inclus comme le douzième texte de la Collection mineure (Khuddaka Nikāya) de la Corbeille des Discours (Sutta Piṭaka). La tradition attribue ce texte à Sāriputta (sct. Śāriputra). Oskar von Hinüber, auteur de ‘A Handbook of Pāli Literature’ (2000) décrit ce texte comme une tentative de systématiser l’Abhidhamma et comme un précurseur du Visuddhimagga de Buddhaghosa (Vème siècle). C’est le premier texte de type abhidhamma dans lequel on rencontre, dans le chapitre XX de la deuxième section qui traite de la vacuité (Suññakatha), le terme sabhava (sct. svabhāva tib. rang bzhin), la nature vide des cinq appropriations psychophysiques (sct. skandha). La nature vide étant le fait qu’elles sont vides de soi/essence. Le passage est par ailleurs assez semblable au Sūtra du Cœur et l’on voit bien que ce dernier procède du même type d’analyse.
Selon Rupert M.L. Gethin, auteur de ‘The Buddhist Path to Awakening’ (2001), l’approche du Chemin de l’analyse est similaire à celle de certains textes de la Perfection de la sagesse (prajñāpāramitā)[3]. Les listes d’éléments doivent aboutir à un aperçu de « l’inexprimabilité de l’éveil » (sans devenir plus mystique pour autant) et à un instant unique d’éveil (ekābhisamaya). Pour Gethin, le Chemin de l’analyse est un texte classique de l’approche de l’expérience unique de l’éveil.[4] L’expérience d’éveil est associée à l’ensemble de la Doctrine et à l’ensemble du chemin bouddhique. Cette approche précède celle du « moment du chemin transcendant comme l’accomplissement des facteurs d’éveil » de Buddhagosa[5]. Le Theravāda fut une des écoles défendant la « pénétration simultanée » (ekābhisamaya, sct. ekakṣanābhisamaya tib. skad cig ma’i sbyor ba). Il considère que les quatre vérités, y compris l’octuple chemin, sont pénétrés instantanément[6], contrairement à la vue anupubbābhisamaya (sct. anupurvābhisamaya tib. mthar gyis pa’i sbyor ba), considérée hérétique, d’une école Sarvastivāda qui considère que leur pénétration est graduelle.
Nous trouvons donc l’idée d’une réalisation simultanée des sept séries ou facteurs d’éveil (Paṭisambhidāmagga) et des quatre vérités (Visuddhimagga) dans le bouddhisme ancien.
« On comprendra ces fonctions dans leur réalité [690] en suivant les explications des anciens : « Une lampe remplit quatre fonctions au même instant sans que l'une précède ou suive l'autre : brûler la mèche, chasser l'obscurité, émettre la lumière et consommer l'huile. De même, la connaissance du chemin réalise les quatre vérités en un seul instant sans que l'une précède ou suive l'autre : elle réalise le désagrément avec la réalisation de la pleine connaissance, l'origine avec la réalisation de l'élimination, le chemin avec la réalisation de la production, et l'Arrêt avec sa vision. »[7]Pour présenter cette idée, Buddhagoṣa cite le Gavampatti Sutta (sv 436 ou 437, Saṃyutta Nikāya 56[8]). « Gavampatti l’ancien est un personnage légendaire[9]. Ce moine ventripotent[10] est aussi connu sous les noms Kaccāyana/Kātyāyana, Naradatta (variantes, Nārada, Nālada, Nālaka), neveu de l'ermite Asita qui examina les signes physiques de Sâkyamuni enfant et prédit sa future illumination » (Lamotte, 1987 : 163, n. 49). Gavampati était le plus célèbre des quatre-vingts grands thera. Il est quelquefois décrit comme ayant la forme monstrueuse d'un nain obèse et bossu, celle d'un « moine participant de la nature des bœufs » d'après Przyluski[11]. Voici comme François Lagirarde explique son aspect monstrueux :
« Gavampati (souvent confondu, dans les titres de « chapitre », avec Kaccāyana) apparaît comme le premier des quatre-vingts disciples : il est d'abord appelé Brahmaputta, un moine dont l'apparence physique est proche de celle du Buddha lui-même et qui se trouve ainsi moralement obligé à se métamorphoser en un nain gras et bossu. À la suite de cette transformation, le moine prend le nom de Gavampati. »[12]C’est sur des propos singuliers attribués à un personnage singulier que Buddhaghoṣa base donc l’idée de la pénétration simultanée des quatre vérités. Une idée de plutôt chinoise (subitisme), énoncée par un personnage qui fait penser à Budai.
« Aujourd'hui, le Moine Ventripotent est de plus en plus identifié à Budai-Maitreya par les Thaïlandais qui, du fait de l'urbanisation et du contact avec les immigrants chinois, fréquentent de plus en plus des monastères neufs construits avec le goût et l'argent de ces derniers. Ultime glissement de sens, déjà opéré par les amateurs d'art exotique à la fin du XIXe siècle qui confondirent souvent le poussah d'origine chinoise avec le Moine Ventripotent présent au Cambodge, au Laos ou au Siam. Il n'est pas interdit de penser, cependant, qu'une association très subtile ait pu se faire depuis longtemps entre Gavampati et l'idée d'un être-pour-l’Éveil. »[13]
Bas relief de Gandhara représentant Shrona Kotikarna |
Ce personnage semble correspondre à (ou avoir des liens avec) celui qui dans la littérature tibétaine est appelé Gro bzhin skyes rna ba bye ba ri, ou en sanskrit Śroṇakoṭīviṁza/Śroṇakoṭīvīṣaḥ/Śroṇakoṭīkarna, le fils d’un riche marchand qui part en voyage pour l’île d’or, se perd en route et aura beaucoup d’aventures. Je reviendrai dans d’autres billets sur ce qui est sans doute un des archétypes du bouddhisme.
Le « chemin de l’analyse » a été prolongé, à leur façon, par les prajñāpāramitā-sūtras, par Nāgārjuna et le Madhyamaka, par Asaṅga et le Yogācāra etc. Dans un des traités attribués à Maitreya, et dont Asaṅga serait l’auteur, L’Ornement de la réalisation concrète (Abhisamayālaṅkāra-prajñāpāramitā-upadeśa-śāstra), on retrouve les approches graduelle et instantanée, cette fois-ci regroupées et inclues en un seul parcours. Ce traité intègre l’approche des prajñāpāramitā-sūtra à sa manière, et en fait un enseignement de sens définitif (neyārtha), c’est-à-dire qui n’a pas besoin d’être interprété, contrairement aux enseignements des prajñāpāramitā, classés dans le deuxième tour de la roue. Le Saṃdhinirmocanasūtra, sūtra Yogācāra, proclame que le troisième tour de la roue est insurpassable, qu’il est incapable d’être réfuté, qu’il est le sens définitif et qu’il ne donne pas lieu à des débats.[14] La sagesse est remplacée par le dogme et la foi. Du moins, pour ceux qui veulent bien adhérer à la théorie des trois tours de la roue et qui s’y conforment.
L’Ornement de la réalisation concrète se divise en huit sections, que l’on pourrait résumer en trois : les trois savoirs connaissances (1-3), les quatre jonctions ou pénétrations (4-7) et le fruit (8) : le corps réel (dharmakāya).
1. la connaissance de tous les aspects (ou images) (sct. sarvākārajñatā tib. rnam kun khyen nyid)
2. la connaissance du chemin (sct. mārgākārajñatā tib. lam shes nyid)
3. la connaissance de la base (sct. vastujñāna tib. gzhi shes) aussi appelée (sct. la connaissance du Tout (sct. sarvajñatā tib. tham cad shes pa nyid)
4. la réalisation/pénétration complète de tous les aspects (sct. sarvākārābhisambodha tib. rnam kun mngon rdzogs rtogs pa ou encore rnam rdzogs sbyor ba)
5. la pénétration cumulée au sommet (sct. murdhābhisamaya tib. rtse mor sbyor ba)
6. la pénétration progressive (sct. anupurvābhisamaya tib. mthar gyis pa’i sbyor ba)
7. la pénétration instantanée (sct. ekakṣanābhisamaya tib. skad cig ma’i sbyor ba)
8. le corps réel (sct. dharmakāya ou encore dharmakāyābhisambodha tib. chos sku)[15]
La pénétration instantanée correspond à la capacité de la pénétration instantanée complète d’une action, grâce à la familiarisation progressive précédente avec les perfections (parāmitā).[16]
Les perfections sont simplement la mise en pratique des préceptes de la pensée éveillée (sct. bodhicitta). La pensée éveillée correspond à la production de la motivation (p. cittuppāda sct. cittotpāda tib. sems bskyed) : vouloir atteindre l’éveil complet pour le bien des autres.[17] C’est la définition de l’Ornement de la réalisation concrète. Toujours, selon le même texte, les six perfections la générosité, la discipline, la patience, le courage, la concentration et la sagesse, correspondent au triple entraînement.[18]
« Chacune prenant appui sur la précédente,C’est cette familiarisation en série qui permet la pénétration instantanée selon l’Ornement de la réalisation concrète. La dernière perfection de la série est la connaissance (prajñā), et c’est pourtant elle qui guide les cinq autres qui seraient comme des aveugles sans guide sans la connaissance.[20] Quand on parle de la connaissance (prajñā) sans les moyens/engagement (upāya) ou des moyens sans la connaissance, il est question de la connaissance (prajñā) et des cinq autres perfections avec lesquelles elle s’engage dans le monde.[21]
Elles sont plus ou moins élevées,
Plus ou moins subtiles,
Et se suivent dans un ordre précis. »[19]
Il existe cependant, notamment dans le bouddhisme chinois, une tendance quiétiste qui veut que la pratique de la non-représentation ou de la vacuité soit inclue dans l’expérience de la vacuité. Gampopa cite le Soutra de l’absorption de diamant, qui serait un apocryphe chinois :
« Quand on ne dévie pas de la vacuité,Ce passage est par ailleurs aussi cité par Vimalamītra dans les Points de la méditation sans représentation dans laquelle on entre instantanément (tib. cig char ‘jug pa rnam par mi rtog pa’i bsgom don), un texte subitiste auquel Kamalaśīla aurait répondu par ses Étapes de la méditation progressive (Bhāvanākrama). Ce qui est contesté n’est pas la simultanéité de l’expérience des six perfections (précédemment développées), mais l’idée que la pratique de la vacuité ou de la non-représentation serait suffisante et inclurait les cinq perfections correspondant à l’engagement (upāya). Autrement dit, qu’il suffirait de rester dans la vacuité ou la non-représentation (sct. nirvikalpa) ou autre forme de connaissance (sct. prajñā), pour que l’engagement (sct. upāya) se fasse ou se passe sans engagement concret… La Guirlande de joyaux (Ratnavālī de Nāgārjuna) dit pourtant :
On maîtrise les six vertus transcendantes. »[22]
« Quand on s’est familiarisé avec la vacuitéLa connaissance ou la sagesse permet d’agir efficacement sans être obnubilé par la convoitise, l’aversion et l’aveuglement, de façon désintéressée, c’est-à-dire en faisant le nécessaire et sans s’approprier le résultat ou s’y identifier, le tout dans l’intérêt général.
On s’applique à faire le bien ».[23]
Cette simultanéité de la connaissance et des moyens, ou des six perfections, conduit alors au corps réel, qui n’est autre que l’Éveillé. L’expérience simultanée des six perfections n’est pas un terminus. Les six perfections et l’activité pour le bien des êtres continuent. De façon quasi-spontanée comme un réflexe naturel, puisque guidées par la sagesse (prajñā).
Est-ce qu’il faut être un Bouddha ou un bodhisattva du sixième niveau, pour agir pour le bien des êtres ? Est-ce que sans cela ce ne serait pas peine perdue, voire contre-productif ? La question avait été posée par la faction indienne à la faction chinoise lors du Concile de Lhassa. La réponse est simple et de bon sens.
« Huitième question nouvelle. — Nous demandons : Vous dites de ne pratiquer les six perfections que lorsque l’acte triple est purifié ; mais alors les profanes ne savent donc pas les pratiquer ? Doivent-ils ne pas les pratiquer tant qu’ils s’exercent au non-examen, et attendre d’avoir purifié l’acte triple[24] pour les pratiquer ensuite ? Ou doivent-ils les cultiver par force, avant d’être capables de purifier l’acte triple ? Comment les cultiveront-ils ?
Réponse. — Ce qu’on appelle les six perfections est de quatre sortes : 1° les perfections mondaines ; 2° les perfections supramondaines ; 3° les perfections sur-supramondaines ; 4° les six perfections intérieures[25]. D’après le Lankāsūtra, il est dit qu’à parler tant en large qu’en bref, les six perfections s’accomplissent automatiquement dès qu’on est capable d ’être sans réflexion [sct. acintanā] et sans examen [vicāra], et que, pour ce qui est de la période où l’on en est encore incapable, il faut pratiquer les six perfections, sans espérer de rétribution. »[26]
***
[1] Nombre indiqué dans les écrits de Vasubandhu.
[2] 1-4. les quatre satipaṭṭhānas
5-8. les quatre sammappadhānas
9-12. les quatre iddhipādas
13-17. les cinq indriyas spirituelles
18-22. les cinq balas
23-29. les sept bojjhaṅgas
30-37. l'ariya aṭṭhaṅgika magga
Ils sont expliqués en détail dans MN 77, sans être toutefois appelés par ce nom.
[3] Gethin, p.311
[4] « The awakening experience is simple, unitary, self-contained and complete in itself » Gethin, p. 312
[5] « The moment of the transcendent path as the fulfilment of that which contributes to awakening (bodhipakkhiya-paripuṇṇa-bhāva). » p. 312
[6] Voir le Chemin de la pureté, chapitre XXII.
[7] Chemin de la pureté
[8] Saṃyutta Nikāya 56 Connected Discourses on the Truths 30. Gavampati
« On one occasion a number of elder bhikkhus were dwelling among the Cetiyans at Sahajati. Now on that occasion when the elder bhikkhus had returned from their alms round, after their meal they had assembled in the pavilion and were sitting together when this conversation arose: “Friend, does one who sees suffering also see the origin of suffering, also see the cessation of suffering, also see the way leading to the cessation of suffering?”
When this was said, the Venerable Gavampati said to the elder bhikkhus: “Friends, in the presence of the Blessed One I have heard and learnt this: ‘Bhikkhus, one who sees suffering also sees the origin of suffering, also sees the cessation of suffering, also sees the way leading to the cessation of suffering. One who sees the origin of suffering also sees suffering, also sees the cessation of suffering, also sees the way leading to the cessation of suffering. One who sees the cessation of suffering also sees suffering, also sees the origin of suffering, also sees the way leading to the cessation of suffering. One who sees the way leading to the cessation of suffering also sees suffering, also sees the origin of suffering, also sees the cessation of suffering.’ »
[9] En Thaïlande, au Laos et au Cambodge.
[10] Lagirarde François. Gavampati-Kaccayana. Le culte et la légende du disciple ventripotent dans le bouddhisme des Thaïs. In: École pratique des hautes études, Section des sciences religieuses. Annuaire. Tome 109, 2000-2001. 2000. pp. 525-528. doi : 10.3406/ephe.2000.11866
[11] Le concile de Râjagrha : introduction à l'histoire des canons et des sectes bouddhiques, Paris, Paul Geuthner, 1928.
[12] Lagirarde François. Gavampati et la tradition des quatre-vingts disciples du Buddha [Textes et iconographie du Laos et de Thaïlande]. In: Bulletin de l'Ecole française d'Extrême-Orient. Tome 87 N°1, 2000. pp. 57-78; doi : 10.3406/befeo.2000.3470
[13] Lagirarde François. Gavampati et la tradition des quatre-vingts disciples du Buddha
[14] « This turning of the wheel of dharma by the Bhagavan is unsurpassable, and there is no chance [for refutation]. It is of definitive meaning and not a basis for debate. » Karl Brunnholzl, Gone Beyond The Prajnaparamita Sutras, The Ornament of Clear Realization, and Its Commentaries in the Tibetan Kagyu Tradition (2010).
[15] « The primary buddhakaya is the dharmakaya. In terms of its nature and purity, it is referred to as the svābhāvikakāya; in terms of its enjoyment of the dharma of the mahāyāna, as the sāmbhogikakāya; and in terms of its manifesting in all kinds of pure and impure forms in various realms, as the nairmāṇikakāya. »
[16] « The full realization in a single instant" refers to the ability of full realization in a single instant of completing an action, which is due to having familiarized with the paramitas in a sequential manner [before]. » Et aussi :
« The instantaneous training, or the clear realization in a single instant, refers to a bodhisattva's simultaneous realization of all aspects of the three knowledges in the vajralike samadhi during the last moment of the tenth bhūmi, which is immediately followed by the attainment of buddhahood. This training is the natural culminating outflow of training (6), in particular due to having cultivated all the paramitas in a sequential manner. In terms of its nature, the instantaneous training cannot be divided, but by way of its general characteristics, isolates, or distinct capacities, it is fourfold. » Karl Brunnholzl, Gone Beyond The Prajnaparamita Sutras, The Ornament of Clear Realization, and Its Commentaries in the Tibetan Kagyu Tradition (2010).
[17] sems bskyed pa ni gzhan don phyir// yang dag rdzogs pa'i byang chub 'dod//
[18] Voir aussi Le précieux ornement de la libération de Gampopa, éd. Padmakara, p. 185
[19] Citation de l’Ornement de la réalisation concrète dans le Précieux ornement de la libération de Gampopa, p. 187
[20] Prajñāpāramitā abrégée, Prajñāpāramitāsaṃcayagāthā.
[21] Le Précieux ornement de la libération, p. 245
[22] Le Précieux ornement de la libération, p. 270. Citation du Vajrasamādhi sūtra (tib. rDo rje ting nge ‘dzin gyi mdo).
[23] Le Précieux ornement de la libération, p. 273
[24] Les actes physiques, verbaux et mentaux.
[25] « La pratique intérieure a pour but le salut de soi-même ; la pratique extérieure est pour le bénéfice des êtres ».
[26] Paul Demiéville, Le Concile de Lhasa, p. 88
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